Le Storch servait également d'avion largueur pour des clubs de parachutisme. Il fallait alors sortir de l'avion, s'asseoir sur une planchette installée sur le hauban supportant l'aile haute, face à la queue, et le souffle de l'hélice suffisait à te faire plonger dans le vide, lorsque le moniteur te donnait le TOP pour lâcher tes accroches.Ancien a écrit : Si celà peut te consoler ( est-ce besoin ?) le Storch était l'avion remorqueur sur le terrain d'Aix les miles ou j'ai pour la première fois " tenu un manche" sur un planeur C800 .
Le zinc des anciens mais pas uniquement.....
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Re: question....
+ tu pédales moins vite, moins tu avances + vite
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le coin des vieux aviateurs
Je recherche des infos concernant l'accident d'avion AF 117 du 22 juin 1962 à Dehais Guadeloupe . Je n'arrive pas à trouver de liens concrets sur le sujet et pour le BEA c'est remonter trop loin . Si quelqu'un peut m'aider ce serait sympa . Je me suis rendue recemment sur les lieux . Des bouts de carlingues de 707 sont encore plantées là plus de 40 ans après . Porte, hublot, verin etc....
j'aimerais savoir ce qui s'est passé ce jour là ? Si quelqu'un s'en souvient
merci à vous
licia
j'aimerais savoir ce qui s'est passé ce jour là ? Si quelqu'un s'en souvient
merci à vous
licia
Voici un lien que tu as peut-être déjà lu:
http://aviation-safety.net/database/rec ... -0&lang=fr
http://aviation-safety.net/database/rec ... -0&lang=fr
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Merci beaucoup, je n'avais pas ces liens . Dur de voir encore les morceaux d'avion, dont certains intactes . Longtemps j'ai cru que celà s'était passé à la Souffière . En fait, une petite colline appelée la montagne aux orchidées . J'ai longtemps entendu parlé de cet accident à AF et je voulais connaitre le lieu exact . C'est chose faite . Il y a une petite stèle commémorative . Une grande aile d'avion cachée dans la colline . Je suis étonnée que tous ces débrits d'avion soient restés là et le pélerinage a été assez éprouvant
merci de votre aide
Alicia
merci de votre aide
Alicia
Tiens ! il y avait longtemps ! '( et pour détendre l'atmosphère)
Les billets de banque fatiguent , en Afrique plus qu'ailleurs car il faut voir de quelle manière ils sont traités
Ceci implique qu'il faille souvent les changer .
Or donc , une belle journée de 1962 , sur une ligne régulière appelée " le Mauritanien " qui faisait traverser la Mauritanie d'ouest en est et vice versa , il y avait dans le C47 les passagers habituels , c'est à dire des mauritaniens , le plus souvent des nomades , transportant leur tresor ( représenté par une selle pour chameau , quelques gamelles et couvertures ) ET un soldat de l'Armée Mauritaniene qui convoyait une caisse ( anonyme )de billets neufs à destination de Néma.
Monté à Nouakchot , fiérement assi à la première place sur la banquette ( nos avions " ordinaires " avaient deux banquettes metalliques longitudinales qui se faisaient face ) , la caisse de billets sous ses jambes , un fusil rigidement tenu entre ses genoux . Stoïque , sans bouger , entièrement plongé dans sa mission , il est resté sans bouger tout le vol ,y compris pendant les escales ( Moudgeria , Tidjikja , Tamchaket ,Aïoun el Atrouss ,Timbédra , Néma )
4h45 de vol plus tard ( plus les temps d'escale , soit en tout pas loin de 7 heures ) on arrive à Néma . Le soldat était toujours là , à la même place , le fusil entre les genoux .........mais il n'y avait plus la caisse !!!
Je vous dis pas la panique du pauvre gars ! Il n'avait rien vu , rien senti , mais sa caisse avait été déchargée !!!
Bon il y a une morale . Le lendemain , au premier arrêt retour , la caisse trainait dans la cabane qui servait d'escale , personne et pour cause ne l'ayant réclamée !
Les billets de banque fatiguent , en Afrique plus qu'ailleurs car il faut voir de quelle manière ils sont traités
Ceci implique qu'il faille souvent les changer .
Or donc , une belle journée de 1962 , sur une ligne régulière appelée " le Mauritanien " qui faisait traverser la Mauritanie d'ouest en est et vice versa , il y avait dans le C47 les passagers habituels , c'est à dire des mauritaniens , le plus souvent des nomades , transportant leur tresor ( représenté par une selle pour chameau , quelques gamelles et couvertures ) ET un soldat de l'Armée Mauritaniene qui convoyait une caisse ( anonyme )de billets neufs à destination de Néma.
Monté à Nouakchot , fiérement assi à la première place sur la banquette ( nos avions " ordinaires " avaient deux banquettes metalliques longitudinales qui se faisaient face ) , la caisse de billets sous ses jambes , un fusil rigidement tenu entre ses genoux . Stoïque , sans bouger , entièrement plongé dans sa mission , il est resté sans bouger tout le vol ,y compris pendant les escales ( Moudgeria , Tidjikja , Tamchaket ,Aïoun el Atrouss ,Timbédra , Néma )
4h45 de vol plus tard ( plus les temps d'escale , soit en tout pas loin de 7 heures ) on arrive à Néma . Le soldat était toujours là , à la même place , le fusil entre les genoux .........mais il n'y avait plus la caisse !!!
Je vous dis pas la panique du pauvre gars ! Il n'avait rien vu , rien senti , mais sa caisse avait été déchargée !!!
Bon il y a une morale . Le lendemain , au premier arrêt retour , la caisse trainait dans la cabane qui servait d'escale , personne et pour cause ne l'ayant réclamée !
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Tu parles d'un moyen pour " blanchir " l'argent sale !
et puis il y a le vieux proverbe qui dit " l'argent n'a pas d'odeur ".
Y en a qui mettent de l'argent de coté et d'autres qui preferent avoir de l'argent derrière, afin de disposer d'une bonne assise financière.
C'est ce qu'on appelle un bon placement !
et puis il y a le vieux proverbe qui dit " l'argent n'a pas d'odeur ".
Y en a qui mettent de l'argent de coté et d'autres qui preferent avoir de l'argent derrière, afin de disposer d'une bonne assise financière.
C'est ce qu'on appelle un bon placement !
blanchir!!!!
mkl a écrit :Tu parles d'un moyen pour " blanchir " l'argent sale !
et puis il y a le vieux proverbe qui dit " l'argent n'a pas d'odeur ".
Y en a qui mettent de l'argent de coté et d'autres qui preferent avoir de l'argent derrière, afin de disposer d'une bonne assise financière.
C'est ce qu'on appelle un bon placement !
Au fait pourquoi "BLANCHIR" allez place aux pros de l'origine .....
La vie c'est dur,ca fait mal dès que ca commence. C'est pour ca qu'on pleure tous à la naissance...
Re: blanchir!!!!
Pense être assez vieux pour te donner une réponse !chuuutt a écrit :
Au fait pourquoi "BLANCHIR" allez place aux pros de l'origine .....
Il y a déjà un certain temps , nos anciens conservaient leur argent en billets dans une lessiveuse ( c'était une tradition!)
Or comme son nom l'indique , la lessiveuse ..........
D'ou l'extrapolation , lorsque l'argent reparait , sensé être sorti de la lessiveuse , il est blanchi ; J'ai bon ???
Re: blanchir!!!!
L'Ancien tu es vraiment ancien !! tu as du connaitre la grand mere de la mere Denis ......... clap clapAncien a écrit :Pense être assez vieux pour te donner une réponse !chuuutt a écrit :
Au fait pourquoi "BLANCHIR" allez place aux pros de l'origine .....
Il y a déjà un certain temps , nos anciens conservaient leur argent en billets dans une lessiveuse ( c'était une tradition!)
Or comme son nom l'indique , la lessiveuse ..........
D'ou l'extrapolation , lorsque l'argent reparait , sensé être sorti de la lessiveuse , il est blanchi ; J'ai bon ???
et bon we
La vie c'est dur,ca fait mal dès que ca commence. C'est pour ca qu'on pleure tous à la naissance...
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d'après Wikipédia :
L'expression « blanchiment d'argent » (money laundering en anglais) vient du fait que l'argent acquis illégalement est appelé de l'argent sale (finance noire). Le blanchiment permet à cet argent de passer pour propre, c'est à dire de prendre une apparence honnête.
Une autre origine peut être également avancée. L'expression "blanchiment d'argent" viendrait du fait qu'aux États-Unis, il y a quelques décennies, le blanchiment d'argent se faisait par l'achat de blanchisseries, dans lesquelles étaient écoulés les produits du crime. En 1928, à Chicago, Al Capone (chef d'une famille mafieuse) racheta une chaîne de blanchisseries : les Sanitary Cleaning Shops. Cette façade légale lui permettait, ainsi, de recycler les ressources tirées de ses nombreuses activités illicites.
L'expression « blanchiment d'argent » (money laundering en anglais) vient du fait que l'argent acquis illégalement est appelé de l'argent sale (finance noire). Le blanchiment permet à cet argent de passer pour propre, c'est à dire de prendre une apparence honnête.
Une autre origine peut être également avancée. L'expression "blanchiment d'argent" viendrait du fait qu'aux États-Unis, il y a quelques décennies, le blanchiment d'argent se faisait par l'achat de blanchisseries, dans lesquelles étaient écoulés les produits du crime. En 1928, à Chicago, Al Capone (chef d'une famille mafieuse) racheta une chaîne de blanchisseries : les Sanitary Cleaning Shops. Cette façade légale lui permettait, ainsi, de recycler les ressources tirées de ses nombreuses activités illicites.
La bille, B....
Vieux souvenirs , pas toujours gais souvenirs !
Juin 1964 , un vol depuis Le Bourget jusqu'à Adis Abbeba ( via Istres Athènes Le Caire Djeddah Djibouti ) en Nord 2501 , pour apporter un turbo en dépannage à un Transall qui effectuait là bas des essais à températures élevées associées à un terrain en altitude .
(Entre parenthèses , celà avait été pour nous la découverte de l'utilisation de la radio BLU . Pensez donc , nous en étions encore au morse en HF , rarement en phonie , et à Istres , d'un seul coup , sous un hangar , on a vu des techniciens discuter avec les " essayeurs du Transall " qui étaient à Addis Abeba ! )
Sur le trajet retour lors de l'arrivée au Caire , de nuit , sur le parking , les moteurs passés sur " étouffoir" on entend un choc du coté gauche . Pilote en fonction c'était donc de mon coté ( dans l'Armée de l'Air le PF était toujours à gauche )J'ouvre la fenêtre et je vois un corps étalé sous l'hélice . Dans un premier temps , je balbutie à la VHF que " some body has just go throw my throttles" ( Sic : mon anglais , pauvre à l'époque - à peine enrichi depuis- mais quand même je connaissais le mot " propellers " mais l'émotion.......et en plus j'étais le seul à " parler anglais ! )
Les gars de la tour doivent encore se demander ce que foutait un gars à travers mes manettes de gaz ! )
Finalement on finit par se comprendre , et nous voilà dans le bureau d'un policier egyptien , qui veut notre déposition : Surréaliste : le Capitaine chef de bord faisait le récit ( à priori nous avons pensé à juste raison que le bonhomme avait été victime d'un phénomène de stroboscopie - le parking étant éclairé par des lampes à vapeur de mercure , et moteurs coupés , silencieux donc mais hélices tournant encore , il est plus que probable qu'il a vu l'hélice arrêtée), je traduisait dans mon anglais de luxe , et le policier transcrivait en arabe !!
Et il nous a fallu signer la déposition !!!!! Pas fiers !!! on s'est vu en tôle pour le restant de nos jours !
La victime était un employé de l'ambassade de France qui venait voir si nous n'avions pas de valise diplomatique à bord
Juin 1964 , un vol depuis Le Bourget jusqu'à Adis Abbeba ( via Istres Athènes Le Caire Djeddah Djibouti ) en Nord 2501 , pour apporter un turbo en dépannage à un Transall qui effectuait là bas des essais à températures élevées associées à un terrain en altitude .
(Entre parenthèses , celà avait été pour nous la découverte de l'utilisation de la radio BLU . Pensez donc , nous en étions encore au morse en HF , rarement en phonie , et à Istres , d'un seul coup , sous un hangar , on a vu des techniciens discuter avec les " essayeurs du Transall " qui étaient à Addis Abeba ! )
Sur le trajet retour lors de l'arrivée au Caire , de nuit , sur le parking , les moteurs passés sur " étouffoir" on entend un choc du coté gauche . Pilote en fonction c'était donc de mon coté ( dans l'Armée de l'Air le PF était toujours à gauche )J'ouvre la fenêtre et je vois un corps étalé sous l'hélice . Dans un premier temps , je balbutie à la VHF que " some body has just go throw my throttles" ( Sic : mon anglais , pauvre à l'époque - à peine enrichi depuis- mais quand même je connaissais le mot " propellers " mais l'émotion.......et en plus j'étais le seul à " parler anglais ! )
Les gars de la tour doivent encore se demander ce que foutait un gars à travers mes manettes de gaz ! )
Finalement on finit par se comprendre , et nous voilà dans le bureau d'un policier egyptien , qui veut notre déposition : Surréaliste : le Capitaine chef de bord faisait le récit ( à priori nous avons pensé à juste raison que le bonhomme avait été victime d'un phénomène de stroboscopie - le parking étant éclairé par des lampes à vapeur de mercure , et moteurs coupés , silencieux donc mais hélices tournant encore , il est plus que probable qu'il a vu l'hélice arrêtée), je traduisait dans mon anglais de luxe , et le policier transcrivait en arabe !!
Et il nous a fallu signer la déposition !!!!! Pas fiers !!! on s'est vu en tôle pour le restant de nos jours !
La victime était un employé de l'ambassade de France qui venait voir si nous n'avions pas de valise diplomatique à bord
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Mais le temps passe et je vois que j'ai tendance à m'eparpiller un peu ces temps ci.
Aussi vai je vous narrer une anecdote tirée de mes peregrinations internationales
en ces temps lointains , j'avais eu la chance d'être recruté par un groupe qui operait sous immatriculation americaine mais qui se promenait un peu partout dans le monde, en tous cas, où les affaires se faisaient.
Je volais en co pilote avec comme captain notre chef pilote, ancien "leatherneck " (US Marine ) que certains redoutaient mais qui pour moi presentait l'avantage enorme de ne presque jamais piloter. Ce que j'appreciais particulierement pour des raisons evidentes, mais surtout parce que c'est lui qui faisait la radio.
Et quand on vole aux Etats Unis, pour un Français, ça facilite quand même les choses, SURTOUT quand on debute.....
Or, ce matin là, pour je ne sais quelle raison, il s'est installé à gauche dans ce beau gros bireacteur. J'ai compris que ce jour là,n'allait pas être un long fleuve tranquille, même si le vol etait relativement court ( je devrait ajouter: surtout parce que le vol etait court )
Partant de Teterboro( NJ ) à l'aube ne presentait pas de grosse difficulté. Sauf ( pour moi!) qu'il s'agissait d'aller se mettre en place à Kennedy ( KENNEDY !!!) pour recuperer des VIP venant d' Europe et allant à Washington Dulles ( WASHINGTON DULLES !!!).
Pas de gros trafic à cette heure là, un VFR radarisé ppour nous permettre un sightseeing superbe, et nous voilà parqué à je ne sais plus quel stand à Kennedy.
Nous etions bien entendu en avance, et pendant que mon captain vaquait à ses occupations privées ( il avait toujours quelque chose " d'important " à faire) je passait mon temps à surveiller à la radio le trafic qui augmentait à mesure que le temps passait.
Et il augmentait le trafic.... bouuuuh,on sentait bien qu'il valait mieux ne pas faire repeter trop souvent.
Enfin, me suis je dis , c'est sûrement LUI qui fera la radio.......
Ben non ! Il a piloté.... et moi j'ai fais mon boulot.
J'ai bien aimé arreter les moteurs à Washington.
Surtout quand il m'a dit avec une tape sur l'epaule :" Hey,mkl,... not a big deal, you see...."
Des gens comme ça, on aime bien bosser avec.
Aussi vai je vous narrer une anecdote tirée de mes peregrinations internationales
en ces temps lointains , j'avais eu la chance d'être recruté par un groupe qui operait sous immatriculation americaine mais qui se promenait un peu partout dans le monde, en tous cas, où les affaires se faisaient.
Je volais en co pilote avec comme captain notre chef pilote, ancien "leatherneck " (US Marine ) que certains redoutaient mais qui pour moi presentait l'avantage enorme de ne presque jamais piloter. Ce que j'appreciais particulierement pour des raisons evidentes, mais surtout parce que c'est lui qui faisait la radio.
Et quand on vole aux Etats Unis, pour un Français, ça facilite quand même les choses, SURTOUT quand on debute.....
Or, ce matin là, pour je ne sais quelle raison, il s'est installé à gauche dans ce beau gros bireacteur. J'ai compris que ce jour là,n'allait pas être un long fleuve tranquille, même si le vol etait relativement court ( je devrait ajouter: surtout parce que le vol etait court )
Partant de Teterboro( NJ ) à l'aube ne presentait pas de grosse difficulté. Sauf ( pour moi!) qu'il s'agissait d'aller se mettre en place à Kennedy ( KENNEDY !!!) pour recuperer des VIP venant d' Europe et allant à Washington Dulles ( WASHINGTON DULLES !!!).
Pas de gros trafic à cette heure là, un VFR radarisé ppour nous permettre un sightseeing superbe, et nous voilà parqué à je ne sais plus quel stand à Kennedy.
Nous etions bien entendu en avance, et pendant que mon captain vaquait à ses occupations privées ( il avait toujours quelque chose " d'important " à faire) je passait mon temps à surveiller à la radio le trafic qui augmentait à mesure que le temps passait.
Et il augmentait le trafic.... bouuuuh,on sentait bien qu'il valait mieux ne pas faire repeter trop souvent.
Enfin, me suis je dis , c'est sûrement LUI qui fera la radio.......
Ben non ! Il a piloté.... et moi j'ai fais mon boulot.
J'ai bien aimé arreter les moteurs à Washington.
Surtout quand il m'a dit avec une tape sur l'epaule :" Hey,mkl,... not a big deal, you see...."
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- opslady
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on s'est croises?? :-))
Dans un autre forum:
Et a cette epoque dont je parlais ci-haut --'85-'89, je bossais non seulement a JFK mais a IAD egalement. C'etait quoi, le nom de ce groupe qui operait sous immat americaine? Ca aurait ete tres drole si on s'etait croises qq-part!
opslady a écrit :mkl, as-tu fais du LC sur Air Afrique? Si oui, as-tu jamais vole a JFK vers 1985-1988?
une ancienne du Dispatch a JFK, "specialiste" d'Air Afrique et les 3T de bags PEQ!
Donc tu volais a KENNEDY (KJFK) et WASHINGTON DULLES (KIAD) sachant combien mkl adore les codes OACI et IATA!mkl a écrit :Non, Lady, à cette epoque là ,je volais sous immatriculation N. depuis dejà environ 10 ans
Et a cette epoque dont je parlais ci-haut --'85-'89, je bossais non seulement a JFK mais a IAD egalement. C'etait quoi, le nom de ce groupe qui operait sous immat americaine? Ca aurait ete tres drole si on s'etait croises qq-part!
L'humour n'est pas incompatible avec la competence.
(Old Irish Proverb, circa 1999)
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Bonjour Opslady. La seule fois où j'ai rencontré une Americaine aussi à l'aise en français que toi c'etait à Miami ,elle travaille pour Air France. ( mais aprés tout peut être s'agit il d'une française expatriée? )
j'y suis passé 2 fois en activité et plusieurs fois à titre privé.et elle y etait à chaque fois me semble t il.
Il m'arrive de me demander si ce n'est pas toi( mais elle est plutot grande alors que tu dis être petite....)
As tu travaillé pour AF Miami ?
j'y suis passé 2 fois en activité et plusieurs fois à titre privé.et elle y etait à chaque fois me semble t il.
Il m'arrive de me demander si ce n'est pas toi( mais elle est plutot grande alors que tu dis être petite....)
As tu travaillé pour AF Miami ?
- opslady
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C'est ma collegue qui etait responsable du catering a MIA en meme temps que j'etais a IAD! Elle parle tres tres bien le francais, (surtout les gros mots!).. Elle est tres forte en 'franglais' aussi! Elle est tres grande..
et elle aussi est de retour a ORD!
Le monde est tout petit! Incroyable!
et elle aussi est de retour a ORD!
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L'humour n'est pas incompatible avec la competence.
(Old Irish Proverb, circa 1999)
(Old Irish Proverb, circa 1999)
Bonjour à tous ,
A la demande générale d' Eva San sur le topic " sur les fréquences " une petite anecdote sur les atterrissages :
Je ne suis pas l'un des acteurs de ce qui aurait pu ( du ) se terminer par un drame.
Blida ( Algérie ) , fin des années 50 :
Un Nord 2501 de mon groupe ( le Sahara )fait de l'entrainement pour les paras . Coquilles ouvertes ( entrainement de largage materiel ) le dernier des paras accompagnants se lance par l'arrière et ...se retrouve avec ses sangles et voilure emmélées dans le plan fixe horizontal . Il essaie de les couper avec son couteau : exercice difficile pour ne pas dire impossible ( mais avec la force du desespoir ...) surtout dans la mesure ou il lache son couteau et là plus d'autre alternative que de regarder l'atterrissage en direct d'une vue imprenable !!
Je me mets à la place du copain pilote du Nord , ça n'a pas du être un moment de plaisir .
Il se pose court , à vitesse plus que mini , la para ( c'était finalement son jour de chance ) touche la piste .sur son parachute ventral et finalement s'en tire avec quelques contusions et brulures !!
Elle est pas belle la vie ????
A la demande générale d' Eva San sur le topic " sur les fréquences " une petite anecdote sur les atterrissages :
Je ne suis pas l'un des acteurs de ce qui aurait pu ( du ) se terminer par un drame.
Blida ( Algérie ) , fin des années 50 :
Un Nord 2501 de mon groupe ( le Sahara )fait de l'entrainement pour les paras . Coquilles ouvertes ( entrainement de largage materiel ) le dernier des paras accompagnants se lance par l'arrière et ...se retrouve avec ses sangles et voilure emmélées dans le plan fixe horizontal . Il essaie de les couper avec son couteau : exercice difficile pour ne pas dire impossible ( mais avec la force du desespoir ...) surtout dans la mesure ou il lache son couteau et là plus d'autre alternative que de regarder l'atterrissage en direct d'une vue imprenable !!
Je me mets à la place du copain pilote du Nord , ça n'a pas du être un moment de plaisir .
Il se pose court , à vitesse plus que mini , la para ( c'était finalement son jour de chance ) touche la piste .sur son parachute ventral et finalement s'en tire avec quelques contusions et brulures !!
Elle est pas belle la vie ????
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