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T'es sur que c'est dans Rambo??? je me souviens plutôt du gouverneur Arnold dans un film comme ça.

Oui, tu as surement raison, on voyait pas bien la tête. C'est p'tet dans "commando" alors.
De toute façon, ça n'a pas une grande importance.

Et pourtant c'est vrai . Peut être un ancien mili qui était en Algerie dans ces années (entre 1958 et 1960 ) proche des groupes de Noratlas ( groupe Sahara , groupe Algerie etc...) pourait confirmer ?

Je connaissais cet evenement et j'ai même acheté dans une brocante recemment un vieux numero de Match que je vais essayer de retrouver pour vous donner les references.
Il y a même des photos du para en question sur son lit d'hopital et il n'a pas la mine de quelqu'un qui trouve ça drôle .

Merci mkl , mais ces jeunots croient tout savoir ! Rambo tu imagines ?
J'ai envie de les mettre à l'amende : A chacun des deux de nourrir ce topic avant que je leur en apprenne d'autres !

Rassure toi Ancien, j'avais également entendu parler de cette histoire, mais je n'ai pas pu m'empêcher.
Tu sais bien que le cinoche exploite beaucoup de faits réels et en rajoute une louche pour le spectaculaire.

Faute avouée à demi pardonnée . Tu me feras deux anecdotes d'ici dimanche et tu seras absous !!

Histoire d'en remettre une couche : Moi, l'histoire du mec pendu par les suspentes à la dérive, j'ai toujours cru que c'était une légende urbaine...aérienne !
Si le pilote de l'avion est là, qu'il se dénonce pour avoir ramené au sol un parachutiste ! ! !
En plus le pauvre para, il a peut-être perdu sa prime de saut sur ce coup là ! ! !

Pour revenir dans les anecdotes plus légères : Un jeune lieutenant pilote, tout frais sorti de l'école était devant le hangar de l'escadrille aux cotés d'un vieux sergent mécanicien, Gascon, paillard et grand amateur d'armagnac. En face d'eux, assez loin, passe en vent arrière une Alouette III. Le mécanicien dit: " tiens voilà une hélicoptère qui arrive". Le lieutenant plongeant comme un seul homme le reprend d'un ton condescendant : " Allons CXXX, ce n'est pas une, mais UN hélicoptère".
Le mécano très sérieux : "Pétard, Vous avez une sacrée bonne vue mon lieutenant !"

C'est le même qui quelque temps plus tard était arrivé largement après l'heure du briefing. Le commandant d'escadrille lui ayant demandé les raisons de son retard, il répondait naturellement " c'est la faute de l'hôtel". (Étant célibataire, il habitait "l'hôtel cadres"). Intrigué quand même, le Cdt lui fait préciser les raisons. " Oui, ben à l'hôtel ils ne m'ont pas réveillé à l'heure" Encore plus intrigué et voyant là le fond d'une histoire de femmes, le Cdt insiste pour savoir quel était cet hôtel incapable de réveiller ses clients à l'heure : Le sergent ennuyé, du bout des lèvres : ben, c'est l'hôtel de police….. En fait, Il avait passé la nuit au poste pour un motif fallacieux, puisqu'il essayait de rentrer au volant de sa 2 CV avec un taux de sang assez faible

permettez moi de venir prendre une petite bouffée d'air frais....avant de trouver une anecdote à raconter.
on est bien ici.
même si on n'y refait pas le monde.

Ailleurs qu'ici, Ancien a dit:
"Tu m'invites ? Y a rien de frais à déguster ici "
Laisse moi juste le temps d'aller chercher les glaçons.
Tu veux que je te dise ?
On ne devrais jamais quitter cet endroit !
Bienvenue à TOUS !( enfin....à ceux qui ont quelque chose à dire, allez, en avant nou z'autres !).

On a une surprise pour vous......

J'étais controleur sur cette base du sud est. La PO nous obligeait à passer des week-end sur place de temps en temps. Les portes de la salle d'approche ouverte, les HP à fond, on faisait des pétanques en attendant le traditionel practice scramble du week-end.
Pis vl'la-t-il pas qu'àl'heure de l'apéro qu'un mirage 2000 passe sur notre jolie aire de jeu, à 500 kts, et .... 30 mètres? Suivi d'un majestueux pill off qui le ramène direct en vent arrière, et le bonhomme qui sort le train.... Galop vers un micro, un penaud "appareil en VA à XXX, identifiez vous...." sur la fréquence tour et le gars nous répond, "XXX, YYY en dernier virage, trois vertes, je me pose et vous pouvez reprendre vos activités du week end"
Bon : on l'a autorisé à ce poser, on n'était pas comme ça...
Et le chef d'équipe a expliqué très officielement au général machin, spationaute de métier, réserviste sur 2000, qui n'aurait du se poser que le lendemain, qu'on avait eu une panne radio et que forcément one pouvait pas répondre a ses multiples appels.
...En fait les potards radio était en position casque dans la salle d'approche, et pas haut parleur...

Au milieu des années 80, convoyage de 2 fougas de Clermont vers Châteaudun.
On décolle en 26, rentrée du train, accélération (!) les c.o.u.i.l.l.e.s au ras du pont, le N° 2 en étagement positif forcé (sinon ça frotte par terre) et en bout de piste, break à droite et une petite chandelle terminée par un passage dos pour prendre le cap de la nav.
Arrivée à Châteaudun sans histoire, mais à l'escadron...convoqué par les chef des ops. Aïe...
Le Chef:
"je viens d'avoir un coup de téléphone du Colonel commandant la base de Clermont."
Nous:
...
Le Chef:
"Il m'a dit que la procédure de départ VFR à Clermont était vitesse 200 kts et altitude 500 pieds avant de virer."
Nous:
...
Le Chef:
"Je lui ai répondu que vous connaissant...vous deviez sûrement avoir la vitesse!"
Nous:
"Tout à fait Chef. Merci Chef !"

boivin a écrit :On décolle en 26

non en 27

Mais non, le temps passe et la déclinaison change...C'est tout ! ! ! !

Tiens je me rappelle une petite anecdote répétitive (un concours peu être !! non pas possible)
Pas si loin que l’ancien même très loin de l’ancien, en 70 … 1970 je précise pour.. , J étai meccano a lan bihoue en Bretagne et nous avions des Alizés (pas le vent doux etc.…) et ces avions avaient une crosse d’appontage.. Et bien régulièrement ces avions revenait d entraînement avec des morceaux de choux-fleurs !!! Allez donc savoir pourquoi !!!!!!!

Ah, il est loin le temps ou je ramenai des bouquets de lavande à ma femme ( mon ex femme) . On les ceuillait au bord du plateau de valensole ....Sans poser les patins..... C'est moins alimentaire que les choux fleurs, mais plus poètique

Il y avait longtemps !
Dans les années 60 ( 1961 ou 1962 ) , jeune sergent pilote sur DC3 militaire en Afrique , je me suis retrouvé en équipage avec un capitaine navigateur ( commandant d'avion vu son grade ) et un adjudant/chef mécano navigant pour faire la tournée des popotes ( ou d'adieux ) d'un général , le général Koening ( futur maréchal de France ) . Je ne me souviens plus s'il avait un aide camp porte valises , mais si tel avait été le cas ce ne pouvait être qu'un officier . Vous l'avez compris , j'étais le petit , le tout petit , le pilote quand même ( mais bof!);
Dans notre escadrille nous avions un DC3 " VIP " , c'est à dire avec de vrais sièges , face à l'avant , accoudoirs etc ..le luxe quoi . Plus une glacière ( je dis bien une glacière , c'est à dire ce genre de boite ou on met un pain de glace en haut et ça tient ce que ça tient: en Afrique vous devinez ce que l'on peut en attendre !)
Bien sur pas d'hotesse ni de stew , vous pensez , à Dakar , dans une petite escadrille de liaison ! Du coup , le chargé de la bouffe à bord était....;vous avez deviné ? : le plus jeune !!!
Donc départ de Dakar , j'avais fait les courses pour un repas froid , un casse croûte à bord et fin de la première journée à Abidjan , redécollage prévu le surlendemain.
Le lendemain je fais donc les courses pour la suite , je les dépose au frais au mess en attendant.
Le surlendemain , je les récupère , les amène à l'avion ou je m'aperçois que bien sur il n'y avait plus de glace dans la glacière , mais c'était prévu , donc la bouffe en cabine il y faisait encore moins chaud !!
En vol je laisse l'avion au mécano ( c'étaient des mecs !!!) et je vais à l'arrière servir mon général . Le cassedalle se passe bien , j'allais à l'avant voir si là aussi tout allait bien et d'aller/retours en aller/retours le repas se termine et horreur je m'aperçois que j'avais oublié le fromage ou dessert . Je ne me dégonfle pas et j'annonce ma faute au général tout en rajoutant " Mais , mon général , il me reste dans la glacière , au soleil d'Abidjan depuis avant-hier , un camenbert qui doit être fait à point !
Aménez ça petit , il n'y a rien de meilleur !!!!"
Il s'est apparemment régalé , mais je garde ce souvenir d'avoir servi un camenbert plus que fuyant à un Général 5 étoiles

PS J'écris cette anecdote en étant seul sur le site . Quel calme pour rameuter les souvenirs

C'est ton camembert qui nous avait fait fuir, maintenant qu'il est avalé, on peut revenir