Quand les contrôles anti-dopage n'existaient pas encore, et que le dopage était déjà une pratique plus ou moins courante, les coureurs automobiles avaient recours à deux méthodes.serval a écrit : Un très bon remède : les neuroleptiques ! Supprime totalement le vertige.... et accessoirement toute sensation corporelle de danger
Plus de licence !
Accessoirement ça rend également capable de prendre des risques fous en moto.... en n'ayant qu'une approche clinique et froide du "pilotage", sans avoir de retour d’adrénaline du risque pris.
Pas bon du tout dans nos métiers.
Le pilote de slalom régional n'hésitait pas à s'envoyer un petit godet avant le départ. Ça ne l'aidait pas forcément...
Les pilotes à plus haut niveau se faisaient prescrire des béta-bloquants. Zénitude assurée. Saignée à blanc mortelle garantie en cas d'accident grave. Un ou deux pilotes se sont saignés comme un cochon dans une cour de ferme, et les béta-bloquants ont été interdits et dépistés.