Justement il y a quelques semaines, un après midi où la météo avait prévu des orages, un fort grain sur le terrain amène tous les appareils à remettre les gaz (vers 5-6 Nm en finale). D'où ouverture des stacks en catastrophe et les remise de gaz sont guidées en vent arrière, les contrôleurs espérant que la cellule orageuse ne prenne pas racine. Arrivés travers Coulommiers, 2 appareils demandent à retenter une approche car ils ne peuvent attendre plus longtemps: il leur reste de quoi effectuer une approche avant de dérouter sur Orly!
Je suis bien conscient que transporter du pétrole en surplus coute cher, mais n'est il pas un peu "limite" de n'avoir que 10 min de réserve lorsque la météo est à l'orage? (loin de moi l'idée de tergiverser sur les prérogatives du CDB, j'aimerais juste comprendre). Pour rappel le 23 juin 2005, CDG était resté fermé pendant +2h à cause d'un orage, Orly refusait les déroutements, Lille, Beauvais Bruxelles étaient complets... Dans ces cas là, on fait quoi avec 10 min de réserve?
![Rolling Eyes :roll:](./images/smilies/icon_rolleyes.gif)
Dans l'attente de vous lire....