La compagnie aérienne Corsair se sauve in extremis avant Noël
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Re: La compagnie aérienne Corsair se sauve in extremis avant Noël
Tout cela est bien malheureux car meme si cette argent frais permet de passer quelques mois ca ne solutionne en aucun cas un problème certainement structurel...
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Re: La compagnie aérienne Corsair se sauve in extremis avant Noël
https://www.lemonde.fr/economie/article ... _3234.html
Encore une compagnie Française qui risque de passer à la trappe.... Je trouve cela bien triste et dommage pour tous les salariés qui gravitent autour...
Quel est le ressenti en interne ?
Encore une compagnie Française qui risque de passer à la trappe.... Je trouve cela bien triste et dommage pour tous les salariés qui gravitent autour...
Quel est le ressenti en interne ?
- Gandalf_Blanc
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Re: La compagnie aérienne Corsair se sauve in extremis avant Noël
Inquiétant ce monsieur a sévit dans la meunerie Française et a plié le beau groupe Grands Moulins de Strasbourg en quelques années...
Grosse casse sociale et désastre industriel c'est la seule chose qu'il a su faire....
https://www.lemonde.fr/economie/article ... _3234.html
C’est un nom inattendu dans le feuilleton de la recapitalisation de Corsair, qui secoue la compagnie aérienne depuis des mois. A l’occasion d’un tour de table visant à renflouer les comptes de l’entreprise française, fin 2023, c’est d’abord la République du Congo, Etat pétrolier d’Afrique centrale, qui devait voler à son secours, en entrant à son capital. En juillet, cependant, Corsair a finalement annoncé le renoncement de Brazzaville, remplacé par un investisseur privé, dont le groupe avait jusqu’alors gardé l’identité secrète. La compagnie spécialisée dans les liaisons vers l’outre-mer a révélé, lundi 9 septembre, l’entrée d’Abbas Jaber à hauteur de 15 millions d’euros, pour 40 % du capital.
Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Corsair sommé par la concurrence à davantage de transparence sur ses comptes
Ce nom est peu connu du grand public, du moins en France. L’entrepreneur, à la triple nationalité (française, libanaise et sénégalaise), possède plusieurs activités en Afrique de l’Ouest. Agé de 66 ans, M. Jaber a commencé sa carrière en 1988 dans le négoce alimentaire au Sénégal, où il est né et a grandi au sein d’une famille libanaise de sept enfants, présente dans le commerce et l’immobilier.
Au cours des années 2000, il se lance dans l’industrie, en rachetant un huilier (la Sonacos), puis un groupe cotonnier (Dagris, devenu Geocoton, implanté également au Mali, au Burkina Faso et au Cameroun, notamment). « Il a été et reste l’un des plus grands employeurs du Sénégal », loue son ami, l’homme d’affaires Youssef Omaïs, saluant des activités qui contribuent « au développement de l’Afrique ».
Abbas Jaber réside depuis plus de quarante ans en France, où il a investi dans la meunerie, se développant par ailleurs dans les solutions d’assurance et les équipements solaires à destination des cultivateurs. Son groupe agro-industriel de tête, baptisé « Advens » et qu’il détient presque exclusivement, revendique 2 700 collaborateurs et 227 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2022 (le résultat net n’est pas divulgué).
« Désir de redressement »
Cependant, le parcours de l’entrepreneur a aussi été jalonné de paris, qui ont parfois tourné court, notent certains observateurs. « C’est un commerçant, quelqu’un qui sent les coups, mais qui n’est pas vraiment un industriel », cingle une source en France, évoquant notamment la revente des Grands Moulins de Strasbourg et la fin agitée d’une concession sur le chemin de fer Dakar-Bamako.
Chez Corsair non plus, Abbas Jaber n’est pas un inconnu. Il « connaît parfaitement » la compagnie, selon le PDG, Pascal de Izaguirre, pour en être devenu actionnaire (à 4 %) et membre du conseil de surveillance en 2020, alors que le transporteur était déjà recapitalisé pour faire face à des difficultés. L’entrepreneur a revendu ses parts en 2022, « quand [il a] considéré qu’on avait plus besoin de [lui] et parce qu’[il n’avait] pas vocation à être actionnaire minoritaire », précise-t-il au Monde par téléphone.
Lire aussi | Article réservé à nos abonnés La Commission européenne doute de la viabilité de Corsair
L’entreprise le recontacte en 2024, mais, cette fois, pour devenir l’actionnaire principal – le reste du capital étant détenu à 52 % par un consortium d’entrepreneurs, principalement ultramarins, et à 8 % par une société d’économie mixte du département de la Guadeloupe. Cette nouvelle configuration est cependant subordonnée à une décision de la Commission européenne, qui mène une enquête approfondie sur le plan de restructuration modifié de la compagnie, sortie très endettée de la pandémie de Covid-19. M. Jaber se dit confiant quant à cette décision, attendue d’ici la fin de 2024 : « Nous avons un très bon dossier. » Le groupe vise, pour l’exercice en cours, un retour à l’équilibre, voire un bénéfice, après avoir perdu 37 millions d’euros sur 2022-2023.
« Je suis venu au secours de Corsair parce que c’est une compagnie que j’aime. Il y a un excellent esprit parmi les actionnaires, et tous ont le désir d’un redressement », affirme-t-il, interrogé sur les motivations de son investissement. Il insiste de surcroît sur le fait d’y voir un potentiel « énorme ». « Et ce potentiel énorme, il est en Afrique », ajoute-t-il, mentionnant l’ouverture déjà prévue de dessertes supplémentaires sur le continent, dont le Congo-Brazzaville, le Cameroun et le Gabon. Et de mentionner un motif plus personnel : « Je suis passionné d’aviation, pilote d’avion et d’hélicoptère. J’ai fait cinq fois le rallye de l’Aéropostale, de Toulouse à Saint-Louis du Sénégal. »
Marion Douet (Nairobi, correspondance)
Grosse casse sociale et désastre industriel c'est la seule chose qu'il a su faire....
https://www.lemonde.fr/economie/article ... _3234.html
C’est un nom inattendu dans le feuilleton de la recapitalisation de Corsair, qui secoue la compagnie aérienne depuis des mois. A l’occasion d’un tour de table visant à renflouer les comptes de l’entreprise française, fin 2023, c’est d’abord la République du Congo, Etat pétrolier d’Afrique centrale, qui devait voler à son secours, en entrant à son capital. En juillet, cependant, Corsair a finalement annoncé le renoncement de Brazzaville, remplacé par un investisseur privé, dont le groupe avait jusqu’alors gardé l’identité secrète. La compagnie spécialisée dans les liaisons vers l’outre-mer a révélé, lundi 9 septembre, l’entrée d’Abbas Jaber à hauteur de 15 millions d’euros, pour 40 % du capital.
Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Corsair sommé par la concurrence à davantage de transparence sur ses comptes
Ce nom est peu connu du grand public, du moins en France. L’entrepreneur, à la triple nationalité (française, libanaise et sénégalaise), possède plusieurs activités en Afrique de l’Ouest. Agé de 66 ans, M. Jaber a commencé sa carrière en 1988 dans le négoce alimentaire au Sénégal, où il est né et a grandi au sein d’une famille libanaise de sept enfants, présente dans le commerce et l’immobilier.
Au cours des années 2000, il se lance dans l’industrie, en rachetant un huilier (la Sonacos), puis un groupe cotonnier (Dagris, devenu Geocoton, implanté également au Mali, au Burkina Faso et au Cameroun, notamment). « Il a été et reste l’un des plus grands employeurs du Sénégal », loue son ami, l’homme d’affaires Youssef Omaïs, saluant des activités qui contribuent « au développement de l’Afrique ».
Abbas Jaber réside depuis plus de quarante ans en France, où il a investi dans la meunerie, se développant par ailleurs dans les solutions d’assurance et les équipements solaires à destination des cultivateurs. Son groupe agro-industriel de tête, baptisé « Advens » et qu’il détient presque exclusivement, revendique 2 700 collaborateurs et 227 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2022 (le résultat net n’est pas divulgué).
« Désir de redressement »
Cependant, le parcours de l’entrepreneur a aussi été jalonné de paris, qui ont parfois tourné court, notent certains observateurs. « C’est un commerçant, quelqu’un qui sent les coups, mais qui n’est pas vraiment un industriel », cingle une source en France, évoquant notamment la revente des Grands Moulins de Strasbourg et la fin agitée d’une concession sur le chemin de fer Dakar-Bamako.
Chez Corsair non plus, Abbas Jaber n’est pas un inconnu. Il « connaît parfaitement » la compagnie, selon le PDG, Pascal de Izaguirre, pour en être devenu actionnaire (à 4 %) et membre du conseil de surveillance en 2020, alors que le transporteur était déjà recapitalisé pour faire face à des difficultés. L’entrepreneur a revendu ses parts en 2022, « quand [il a] considéré qu’on avait plus besoin de [lui] et parce qu’[il n’avait] pas vocation à être actionnaire minoritaire », précise-t-il au Monde par téléphone.
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L’entreprise le recontacte en 2024, mais, cette fois, pour devenir l’actionnaire principal – le reste du capital étant détenu à 52 % par un consortium d’entrepreneurs, principalement ultramarins, et à 8 % par une société d’économie mixte du département de la Guadeloupe. Cette nouvelle configuration est cependant subordonnée à une décision de la Commission européenne, qui mène une enquête approfondie sur le plan de restructuration modifié de la compagnie, sortie très endettée de la pandémie de Covid-19. M. Jaber se dit confiant quant à cette décision, attendue d’ici la fin de 2024 : « Nous avons un très bon dossier. » Le groupe vise, pour l’exercice en cours, un retour à l’équilibre, voire un bénéfice, après avoir perdu 37 millions d’euros sur 2022-2023.
« Je suis venu au secours de Corsair parce que c’est une compagnie que j’aime. Il y a un excellent esprit parmi les actionnaires, et tous ont le désir d’un redressement », affirme-t-il, interrogé sur les motivations de son investissement. Il insiste de surcroît sur le fait d’y voir un potentiel « énorme ». « Et ce potentiel énorme, il est en Afrique », ajoute-t-il, mentionnant l’ouverture déjà prévue de dessertes supplémentaires sur le continent, dont le Congo-Brazzaville, le Cameroun et le Gabon. Et de mentionner un motif plus personnel : « Je suis passionné d’aviation, pilote d’avion et d’hélicoptère. J’ai fait cinq fois le rallye de l’Aéropostale, de Toulouse à Saint-Louis du Sénégal. »
Marion Douet (Nairobi, correspondance)
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Re: La compagnie aérienne Corsair se sauve in extremis avant Noël
soit 10% du prix d'un seul A330 ?l’entrée d’Abbas Jaber à hauteur de 15 millions d’euros, pour 40 % du capital.
mais si c' est par amour :
L'amour cela n'a pas de prix ..Je suis passionné d’aviation, pilote d’avion et d’hélicoptère. J’ai fait cinq fois le rallye de l’Aéropostale, de Toulouse à Saint-Louis du Sénégal.
Re: La compagnie aérienne Corsair se sauve in extremis avant Noël
Je serais curieux de savoir ce qu'en pense l'excellent Pierre Chesneau qui avait reconstruit Corsair et qui à présent observe tout ce gaspillage.
Les éléments suivants sont issus des données enregistrées dans le QAR et des témoignages. Le CVR n’était plus disponible.
- DC8
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Re: La compagnie aérienne Corsair se sauve in extremis avant Noël
Comme tous les vieux qui voyent leur patrimoine ou entreprise foutre le camp a cause d'ambitieux qui mettent le profit a court terme avant tout.
je suis regulierement la saga Boeing a travers le Seattle times. En train de couler lentement, un desastre pour les gens qui y ont mis toute leur energie et leur vie. Triste epoque .
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Re: La compagnie aérienne Corsair se sauve in extremis avant Noël
Bien d'accord avec toi, ce culte du profit exigé à court terme est une aberration surtout dans l'industrie et surtout dans l'industrie aéronautique...DC8 a écrit : ↑mardi 01 oct. 2024 17:23 Comme tous les vieux qui voyent leur patrimoine ou entreprise foutre le camp a cause d'ambitieux qui mettent le profit a court terme avant tout.
je suis regulierement la saga Boeing a travers le Seattle times. En train de couler lentement, un desastre pour les gens qui y ont mis toute leur energie et leur vie. Triste epoque .
Délocalisation sous traitance aveugle etc... Boeing en paye le prix fort, bien triste.
Une amie VN a épousé un type qui bosse à Everett, pas dans la prod' mais dans la CAO, elle me dit que pour l'instant ils ne sont pas trop inquiêts mais ça barde tous les jours ou presque dans les usines les gens peuvent se retrouver virés dans la journée... J'ai lu que les emmerdes volent en escadrille chez Boeing, un pb avec les stab des 737.
Les éléments suivants sont issus des données enregistrées dans le QAR et des témoignages. Le CVR n’était plus disponible.
Re: La compagnie aérienne Corsair se sauve in extremis avant Noël
Sympa, merci, c'était un très bon ami d'un ancien d'Aeromar puis AF que j'ai bien connu.
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Re: La compagnie aérienne Corsair se sauve in extremis avant Noël
Et ça continue, encore et encore...DC8 a écrit : ↑mardi 01 oct. 2024 17:23 Comme tous les vieux qui voyent leur patrimoine ou entreprise foutre le camp a cause d'ambitieux qui mettent le profit a court terme avant tout.
je suis regulierement la saga Boeing a travers le Seattle times. En train de couler lentement, un desastre pour les gens qui y ont mis toute leur energie et leur vie. Triste epoque .
https://www.bfmtv.com/economie/entrepri ... 50309.html
Homicidal Psycho Jungle Cat
Re: La compagnie aérienne Corsair se sauve in extremis avant Noël
Oui c'est terrible et ça ne date pas d'hier... les japonais se souviennent de fuites electrolytes avec gros dégagement de fumées (au pk par chance) sur leur premier 787 et groundé tous les autres une paire de mois. 11 ans plus tard rien n'a changéfroggy a écrit : ↑dimanche 06 oct. 2024 12:37Et ça continue, encore et encore...DC8 a écrit : ↑mardi 01 oct. 2024 17:23 Comme tous les vieux qui voyent leur patrimoine ou entreprise foutre le camp a cause d'ambitieux qui mettent le profit a court terme avant tout.
je suis regulierement la saga Boeing a travers le Seattle times. En train de couler lentement, un desastre pour les gens qui y ont mis toute leur energie et leur vie. Triste epoque .
https://www.bfmtv.com/economie/entrepri ... 50309.html
https://www.france24.com/fr/20130116-de ... rs-ana-faa
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Re: La compagnie aérienne Corsair se sauve in extremis avant Noël
Ohh oui, je me souviens de la saga des batteries. Cette vidéo du 787 ANA, avec la fumée sortant de la soute a du être une super pub pour Boeing
Homicidal Psycho Jungle Cat
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Re: La compagnie aérienne Corsair se sauve in extremis avant Noël
Boeing c'est un peu comme Trump . Ils trainent tous les deux d'enormes casseroles , mais cela n'entache en rien leur popularite aupres des acheteurs et des electeurs . Comme quoi . La greve des machinistes chez Boeing ( qui dure toujours ) et qui bloque la production en est encore une preuve..
https://www.air-journal.fr/2024-01-10-e ... avec%20une
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Re: La compagnie aérienne Corsair se sauve in extremis avant Noël
Ils ont des acheteurs, car ils vendent les avions à prix coutant ou à perte. Je ne sais plus où j'ai lu que le programme 787 ne sera jamais amorti... Tant qu'ils ont la commande publique pour se renflouer, même si ça tangue aussi de ce côté là (ex KC-46), l'état américain n'achèterait jamais des Airbus, même "made in Mobile"...
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Re: La compagnie aérienne Corsair se sauve in extremis avant Noël
J'ai lu que Boeing avait cédé et cassé la tirelire... 7000 $ de prime à la signature de l'accord pour tous et + 35 % sur 4 ans.froggy a écrit : ↑mardi 15 oct. 2024 11:41 Ils ont des acheteurs, car ils vendent les avions à prix coutant ou à perte. Je ne sais plus où j'ai lu que le programme 787 ne sera jamais amorti... Tant qu'ils ont la commande publique pour se renflouer, même si ça tangue aussi de ce côté là (ex KC-46), l'état américain n'achèterait jamais des Airbus, même "made in Mobile"...
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Re: La compagnie aérienne Corsair se sauve in extremis avant Noël
Pour en revenir à Corsair, nous sommes nombreux à ne pas bien comprendre (ou trop bien, au contraire) : les avions sont pleins comme des œufs, on nous dit pourtant que la boîte perd de l’argent et le dialogue social est actuellement déplorable. De toute façon, entre l’actuelle direction, les autres compagnies, le gouvernement et la commission européenne, tout ceci n’est qu’un gigantesque jeu d’influences et de copinage. Pour ma part j’ai passé les 60 ans et j’ai mes annuités. Je pourrai partir en retraite à convenance. Mais je comprends les jeunes de chez nous qui passent interviews et sélections pour aller ailleurs. AF bien sûr, mais aussi Airbus Transport International, Easy Jet et même pour certains les boîtes du tas de sable (là, au niveau du dialogue social ils risquent de vite déchanter) et même d’Extrême-Orient. C’est triste mais c’est comme ça.
"You may not be aware that I’m the captain’s sexual adviser.”
“Well, no, I didn’t know that.”
“Yeah, because whenever I speak up, he says, ‘If I want your fucking advice, I’ll ask for it.’ ”
“Well, no, I didn’t know that.”
“Yeah, because whenever I speak up, he says, ‘If I want your fucking advice, I’ll ask for it.’ ”
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Re: La compagnie aérienne Corsair se sauve in extremis avant Noël
Bien triste en effet . Desole pour toi ..mais on a deja vu ca avant non ? comme avec Air Lib ?
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Re: La compagnie aérienne Corsair se sauve in extremis avant Noël
Ça y ressemble en effet.. Et c’est surtout pour les d’jeuns que c’est triste. Moi, j’ai encore plein de bons souvenirs en tête..
"You may not be aware that I’m the captain’s sexual adviser.”
“Well, no, I didn’t know that.”
“Yeah, because whenever I speak up, he says, ‘If I want your fucking advice, I’ll ask for it.’ ”
“Well, no, I didn’t know that.”
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