Information de " NICE MATIN "
Publié le mardi 07 décembre 2010 à 15H58
Depuis 16 heures ce mardi, les autorités sont à la recherche d'un hélicoptère disparu vers Breil-sur-Roya, dans le massif du Mercantour. L'engin, à bord duquel se trouve un géologue, venait d'intervenir sur un éboulement entre la frontière italienne et Breil-sur-Roya. Rien ne permet pour l'instant de confirmer l'hypothèse d'un crash. D'importants moyens convergent actuellement vers les lieux. Un épais brouillard gène la visibilité dans le massif.
Un crash ?
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mkl
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Re: Un crash ?
Bien triste.
Maintenant place à l' enquête.
Si elle est bâclée, resultat dans 8 jours ( ouvrables )
Si elle est soignée, resultat dans 10 ans ( avec la même conclusion que quand elle est bâclée ).
Mais......laissons la parole aux experts.
Maintenant place à l' enquête.
Si elle est bâclée, resultat dans 8 jours ( ouvrables )
Si elle est soignée, resultat dans 10 ans ( avec la même conclusion que quand elle est bâclée ).
Mais......laissons la parole aux experts.
Re: Un crash ?
Suite des informations " NICE MATIN "
L'hélicoptère appartient à la société monégasque Héli Air et a été affrêté par le Conseil général des Alpes-Maritimes. A bord se trouve le pilote, un géologue du Conseil général et un employé de la société "Heaven Climber" spécialisée dans les travaux en zones escarpées.
La préfecture des Alpes-Maritimes a déclenché à 16h25 le plan SATER pour les aéronefs disparus. Les recherches des secours sont compliquées par un épais brouillard.
L'hélicoptère appartient à la société monégasque Héli Air et a été affrêté par le Conseil général des Alpes-Maritimes. A bord se trouve le pilote, un géologue du Conseil général et un employé de la société "Heaven Climber" spécialisée dans les travaux en zones escarpées.
La préfecture des Alpes-Maritimes a déclenché à 16h25 le plan SATER pour les aéronefs disparus. Les recherches des secours sont compliquées par un épais brouillard.
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eva san
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Re: Un crash ?
Le temps était vraiment pas top quand il est parti, et quant à l'helico de la sécurité civile, il n'a pas pu atteindre la dernière position connue à cause de la nébulosité...bref espérons un miracle...
Roger Roger, we have clearance Clarence, what's our vector, Victor?
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captainstef
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Re: Un crash ?
Effectivement un temps médiocre dans les Alpes Maritimes avec un plafond trés bas depuis 2 jours et du brouillard même prés du littoral (plutot inhabituel ici) 
Modifié en dernier par captainstef le mercredi 08 déc. 2010 14:16, modifié 1 fois.
Re: Un crash ?
Ce jour : trois morts 
Re: Un crash ?
Informations " NICE MATIN "
Un appareil affrété pour le conseil général s’est écrasé dans un brouillard très dense, près de Breil-sur-Roya. Il effectuait une reconnaissance aérienne sur un éboulement
L’attente a été insoutenable pour les proches. La nouvelle encore plus terrible. Hier soir, vers 22 h 30, on apprenait que les trois hommes qui se trouvaient à bord d’un hélicoptère de la société Héli Air Monaco n’avaient pas survécu au crash de leur appareil, non loin du hameau de Piène-Haute dans la vallée de la Roya. L’Écureuil 350 B2 avait décollé vers 15 heures de l’aéroport de Nice. Affrété dans l’après-midi par la société Heaven Climber pour le compte du conseil général des Alpes-Maritimes, l’engin et son équipage étaient chargés de se rendre non loin de Breil-sur-Roya, sur la RD 6204, pour mesurer les dégâts provoqués par une chute de rochers.
Aux commandes, Franck Malchaux, pilote chevronné de Héli Air. Sur les sièges passagers, Jérôme Maupomé, de la société Heaven Climber Méditerranée, spécialisée dans les interventions en milieu périlleux, et Vincent Bestagno, 32 ans, géologue du conseil général. Arrivé vers 15 h 25 au-dessus de l’éboulement, l’engin a d’abord effectué une première reconnaissance. « Il a ensuite disparu dans le brouillard », témoigne Renaud Lefebvre, correspondant de Nice-Matin à Breil-sur-Roya (lire par ailleurs). Quelques minutes plus tard, Hugo Gargari, chasseur émérite de Piène-Haute, entend un « bruit assourdissant » au-dessus du village. Le pilote cherchait-il en vain l’aire d’atterrissage située au-dessus du parking, à l’entrée du hameau ?
Un appareil affrété pour le conseil général s’est écrasé dans un brouillard très dense, près de Breil-sur-Roya. Il effectuait une reconnaissance aérienne sur un éboulement
L’attente a été insoutenable pour les proches. La nouvelle encore plus terrible. Hier soir, vers 22 h 30, on apprenait que les trois hommes qui se trouvaient à bord d’un hélicoptère de la société Héli Air Monaco n’avaient pas survécu au crash de leur appareil, non loin du hameau de Piène-Haute dans la vallée de la Roya. L’Écureuil 350 B2 avait décollé vers 15 heures de l’aéroport de Nice. Affrété dans l’après-midi par la société Heaven Climber pour le compte du conseil général des Alpes-Maritimes, l’engin et son équipage étaient chargés de se rendre non loin de Breil-sur-Roya, sur la RD 6204, pour mesurer les dégâts provoqués par une chute de rochers.
Aux commandes, Franck Malchaux, pilote chevronné de Héli Air. Sur les sièges passagers, Jérôme Maupomé, de la société Heaven Climber Méditerranée, spécialisée dans les interventions en milieu périlleux, et Vincent Bestagno, 32 ans, géologue du conseil général. Arrivé vers 15 h 25 au-dessus de l’éboulement, l’engin a d’abord effectué une première reconnaissance. « Il a ensuite disparu dans le brouillard », témoigne Renaud Lefebvre, correspondant de Nice-Matin à Breil-sur-Roya (lire par ailleurs). Quelques minutes plus tard, Hugo Gargari, chasseur émérite de Piène-Haute, entend un « bruit assourdissant » au-dessus du village. Le pilote cherchait-il en vain l’aire d’atterrissage située au-dessus du parking, à l’entrée du hameau ?
Re: Un crash ?
les infos et les temoignages , different souvent ,,,, les uns ont entendu une explosion ,,,, les autres non rien entendu ,,,
Publié le 08/12/2010 | 10:23
Crash d'hélicoptère dans le Mercantour: 3 morts
Par Louis SAN
L'hélicoptère affrété par le conseil général des Alpes-Maritimes a été repéré mardi soir: il n'y a pas de survivant
Les corps des trois personnes qui étaient à bord de l'Eurocopter Ecureuil AS-350 de la société Heli Air Monaco ont été repérés.
L'hélicoptère intervenait sur une zone d'éboulement près de Breil-sur-Roya, dans une zone montagneuse du Mercantour. L'équipage intervenait pour le compte du conseil général des Alpes-Maritimes sur une zone d'éboulement.
"On a retrouvé les cadavres et des morceaux d'hélicoptère éparpillés" mardi vers 22H20 près d'un hameau du village de Breil-sur-Roya, non loin de la frontière italienne, a indiqué à l'AFP le sous-préfet de Nice-montagne Christophe Marot. Les corps devaient être "récupérés mercredi matin et restitués aux familles dans les plus brefs délais", a précisé le responsable.
Outre le pilote, un technicien de Heaven Climber (prestataire de services spécialisé dans les travaux en milieu montagneux) et un géologue de la direction des routes du conseil général se trouvaient à bord.
La zone était recouverte d'un épais brouillard au moment de la disparition de l'appareil, peu avant 15h30. Des témoins qui ont donné l'alerte auraient perçu "un choc" après que l'hélicoptère eut été aperçu dans les airs, mais "personne n'a entendu d'explosion" à proprement parler, avait précisé le sous-préfet plus tôt dans la soirée.
Publié le 08/12/2010 | 10:23
Crash d'hélicoptère dans le Mercantour: 3 morts
Par Louis SAN
L'hélicoptère affrété par le conseil général des Alpes-Maritimes a été repéré mardi soir: il n'y a pas de survivant
Les corps des trois personnes qui étaient à bord de l'Eurocopter Ecureuil AS-350 de la société Heli Air Monaco ont été repérés.
L'hélicoptère intervenait sur une zone d'éboulement près de Breil-sur-Roya, dans une zone montagneuse du Mercantour. L'équipage intervenait pour le compte du conseil général des Alpes-Maritimes sur une zone d'éboulement.
"On a retrouvé les cadavres et des morceaux d'hélicoptère éparpillés" mardi vers 22H20 près d'un hameau du village de Breil-sur-Roya, non loin de la frontière italienne, a indiqué à l'AFP le sous-préfet de Nice-montagne Christophe Marot. Les corps devaient être "récupérés mercredi matin et restitués aux familles dans les plus brefs délais", a précisé le responsable.
Outre le pilote, un technicien de Heaven Climber (prestataire de services spécialisé dans les travaux en milieu montagneux) et un géologue de la direction des routes du conseil général se trouvaient à bord.
La zone était recouverte d'un épais brouillard au moment de la disparition de l'appareil, peu avant 15h30. Des témoins qui ont donné l'alerte auraient perçu "un choc" après que l'hélicoptère eut été aperçu dans les airs, mais "personne n'a entendu d'explosion" à proprement parler, avait précisé le sous-préfet plus tôt dans la soirée.
Re: Un crash ?
Information NICE MATIN :
C’est du moins ce que pense Bernard Navarro, de la société Hélicoptères de France, qui assure l’énorme majorité des missions de ce genre dans les Alpes-Maritimes.
La fatalité seule responsable
Pour lui, seule la fatalité est responsable : « Ce n’est pas en prenant une météo que l’on peut savoir qu’un brouillard pareil apparaîtra. En montagne, il peut vous bloquer en une poignée de secondes. Vous rentrez dans un vallon dégagé et vous vous retrouvez devant un mur. Vous faites demi-tour et il y a un autre mur. C’est un piège terrible, même pour un pilote très expérimenté. S’il a cherché à se poser, c’était le bon réflexe. Mais encore faut-il pouvoir le faire. Quant à l’appareil, c’est un Écureuil presque comme le mien. Il n’y a pas plus polyvalent. Après, chacun peut y aller de son interprétation, parler du feeling, de l’habitude avec ce genre de missions... Mais moi, je vous le répète, il ne faut pas incriminer le pilote. C’est la fatalité. »
Une version des faits que partage Jacques Crovetto, patron d’Héli Air Monaco, un homme très affecté, présent hier matin à Piène-Haute : « Il a vraisemblablement estimé que la météo était dégradée, mais sûrement pas à ce point. Et en dernier ressort, c’est toujours le pilote qui décide. »
Une décision probablement raisonnable au moment du décollage. Mais la montagne en a voulu autrement
Bien sûr, l’enquête menée par la gendarmerie des transports aériens, tout comme celle menée en parallèle par la Direction générale de l’aviation civile, exploreront toutes les pistes. Y compris celle de la panne mécanique. Elles se poseront aussi la question du dysfonctionnement de la balise de sécurité qui aurait dû se déclencher automatiquement, mais n’a jamais émis le moindre signal
C’est du moins ce que pense Bernard Navarro, de la société Hélicoptères de France, qui assure l’énorme majorité des missions de ce genre dans les Alpes-Maritimes.
La fatalité seule responsable
Pour lui, seule la fatalité est responsable : « Ce n’est pas en prenant une météo que l’on peut savoir qu’un brouillard pareil apparaîtra. En montagne, il peut vous bloquer en une poignée de secondes. Vous rentrez dans un vallon dégagé et vous vous retrouvez devant un mur. Vous faites demi-tour et il y a un autre mur. C’est un piège terrible, même pour un pilote très expérimenté. S’il a cherché à se poser, c’était le bon réflexe. Mais encore faut-il pouvoir le faire. Quant à l’appareil, c’est un Écureuil presque comme le mien. Il n’y a pas plus polyvalent. Après, chacun peut y aller de son interprétation, parler du feeling, de l’habitude avec ce genre de missions... Mais moi, je vous le répète, il ne faut pas incriminer le pilote. C’est la fatalité. »
Une version des faits que partage Jacques Crovetto, patron d’Héli Air Monaco, un homme très affecté, présent hier matin à Piène-Haute : « Il a vraisemblablement estimé que la météo était dégradée, mais sûrement pas à ce point. Et en dernier ressort, c’est toujours le pilote qui décide. »
Une décision probablement raisonnable au moment du décollage. Mais la montagne en a voulu autrement
Bien sûr, l’enquête menée par la gendarmerie des transports aériens, tout comme celle menée en parallèle par la Direction générale de l’aviation civile, exploreront toutes les pistes. Y compris celle de la panne mécanique. Elles se poseront aussi la question du dysfonctionnement de la balise de sécurité qui aurait dû se déclencher automatiquement, mais n’a jamais émis le moindre signal
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