C'est fini tout ça, la France est endettée des pieds à la tête, et c'est pas le CPE et tous ces navets de ce genre qui vont recoller les pots cassés.Si on veut garder notre protection sociale, et tout payer le moins cher possible, il faut bien comprendre que tout sera délocalisé là où les coûts sont moins élevés (et surtout les profits plus importants).
On ne peut pas en vouloir au gens ordinaires de vouloir payer les choses moins cher. Ils ne peuvent plus faire autrement puisque le cout du système social se repercute sur leur salaire. C'est un cercle vicieux! Le coût du travail etant exorbitant, il s'en suit un taux de chômage anormal.Si on veut garder notre protection sociale, et tout payer le moins cher possible, il faut bien comprendre que tout sera délocalisé là où les coûts sont moins élevés (et surtout les profits plus importants).
Moi je n'ai aucun scrupule. J'ai 2 Renault et une Citroën... ;o)makoume a écrit :Juste une question, vous avez quoi comme voiture?
non parce que là on fanfaronne en parlant de sécurité etc...pour damer le pion des cies étrangères, au profit des cies françaises, mais ce ne sont que de faux arguments protectionistes non?
Combien d'entre vous roulent en voiture étangère? vous avez eu des scrupules le jour de l'achat?
Non, je crois que les français répugnent à prendre l'avionEst-ce que les Français répugnent à réserver via Internet, ce serait une des causes de la réticence à ouvrir des lignes intérieures dans l'hexagone, non?
Prendre l'avion est encore perçu en France comme etant un truc de riche, et il n'ya pas de volonté politique de changer cet etat d'esprit. Dommage.Et pourtant, à Fontenoy, ce sont les français qui ont gagnéLe " tirez les premiers messieurs les Anglais " n'est plus de mise de nos jours .
Pour revenir au débat, je pense que l'un des interets des vols interieurs AF est de faire la connexion avec le long-courrier: un Shanghai->Nantes avec connexion à CDG, c'est mieux que Shanghai->CDG puis RER jusqu'à Montparnasse (y a jamais de TGV quand on veut à CDG).Contrairement aux apparences, cet échange ne doit rien à la courtoisie ou à la politesse. Une règle du combat d'infanterie interdisait à une troupe de tirer la première dans un combat rapproché, afin de ne pas être désarmé ensuite devant le feu de l'ennemi, le rechargement des armes s'avérant très long.
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